ONCHOISIT SES AMIS PAS SA FAMILLE On ne choisit pas toujours sa famille, qu’on se le dise ! Toc toc toc ! Qui est là ? C’est ta sœur ! J’en ai pas Que tu crois ! Comment Luc, architecte de renom, hautain, classieux, aimant garder le contrôle sur tout, va-t-il gérer le débarquement de Victoire, une sœurette envahissante et exubérante que même la génétique Noté/5: Achetez On ne choisit pas sa famille de Pellault, Cécile: ISBN: 9798529372029 sur amazon.fr, des millions de livres livrés chez vous en 1 jour ONCHOISIT SES AMIS PAS SA FAMILLE La nouvelle comédie de Bruno Galisa comme un dicton, on ne choisit pas toujours sa famille, qu’on se le dise ! Toc toc toc ! Qui est là ? C’est ta sœur ! On choisit ses amis, pas sa famille.» Cette petite phrase, a priori banale et vite dite, résume pourtant une idée importante et tout ce qu’il y a de plus difficile dans le fait d’avoir une Lanouvelle comédie de Bruno Gallisa avec Delphine Pradeilles et Bruno Gallisa, créée au Théâtre de Carcans en août 2019.Résumé: "On ne choisit pas toujours pt8lGJ9. La famille ? les amis ! Et si on décidait de changer le cours des choses ? Si on pouvait choisir sa famille ? Après tout, il y a dans la vie les constantes avec lesquelles on ne peut pas négocier et les variables que l’on ajuste à souhait… La preuve, on se choisit bien une famille le jour où l’on se marie et qu’on fait des enfants… Encore que ses enfants, on ne les choisit pas vraiment, tout au plus on décide d’en faire la décision étant plus souvent une initiative féminine que masculine, mais je traiterai ce sujet plus tard dans un autre article. Mais revenons à nos moutons… En ce qui me concerne, ma famille, j’ai décidé de la choisir, de me la composer comme j’en ai envie, et surtout comme elle correspond à mes attentes. D’accord, ce n’est pas simple à expliquer à son entourage surtout la “vraie” famille. Leur faire admettre qu’ils ne sont là que par la force des choses et pas par choix, ni le mien ni le leur n’est pas chose aisée, mais une fois qu’on s’est bien engueulé avec eux, tout devient plus facile. Partant donc du postulat que ma famille “de sang” ne me servait pas à grand chose, je les ai simplement supprimés de l’équation si mon prof de maths me voyait simplement supprimer les constantes, je pense qu’il m’égorgerait sur place 🙂 . Cette contrainte majeure étant traitée, il ne me restait plus qu’à me trouver une famille ou plutôt à me la construire. L’important est de ne pas se mettre la pression, ni s’imposer une deadline. La pression ne se subit pas, elle se boit !!! Prendre la vie comme elle vient et se contenter de ce qu’elle offre au fil des jours. C’est avec cette philosophie, sans rien attendre, en donnant sans rien demander en retour, que l’on fait des rencontres qui peuvent changer une vie. Donc une fois le ménage fait dans ma petite vie, j’ai construit des cercles concentriques le bon vieux concept de l’oignon, ça pique mais ça protège autour de moi dans lesquels chaque rencontre, bonne ou mauvaise trouve sa place. Celui que j’appellerai le “premier cercle” c’est la famille que je vais petit à petit me construire. Ils sont des hasards et des rencontres contre lesquels on ne peut rien ! Surtout lorsque l’on est enfant et que par essence on n’a aucune maîtrise sur les gens qui nous entourent. Au Sénégal, depuis les indépendances, les relations entretenues entre les gouvernements et les populations ont toujours été illusoires. Les gouvernants ont toujours cru qu’ils sont au-dessus de la loi et que le mariage forcé aux autres pouvoirs et les forces de sécurité leur permettraient d’assurer la stabilité du pouvoir politique. Pendant qu’on nous dit que la démocratie progresse en Afrique, on voit toujours que les vieilles habitudes persistent encore dans plusieurs pays dont le Sénégal. Parmi ces habitudes, on retrouve la manipulation sans vergogne de la Constitution, et le dialogue national pour apaiser la tension sociale en graciant et en amnistiant des délinquants d’échecAprès un aveu d’échec de son septennat, le président Sall est dans l’obligation de respecter les reformes signées avec le FMI dans le but de crédibiliser son Etat et de pouvoir bénéficier de prêts de cette institution en cas d’urgence. Pour mettre en œuvre ces réformes impopulaires dont certaines ont commencé à voir le jour, le président a besoin d’une atmosphère décrispée pour empêcher les opposants de pousser leurs sympathisants et militants à marcher pour décrier ces que des malversations ont vu le jour durant le septennat, le pouvoir législatif, ce pouvoir sans pouvoir, dont la majorité ne fait que charmer le pouvoir exécutif pour des avantages, n’a enquêté sur aucun des dossiers qui incriminent les membres de l’APR, ils viennent maintenant nous tympaniser avec cette enquête parlementaire sur les 94 milliards. Quel faux dossier ! La population est en train de souffrir, la vie est chère et le pouvoir d’achat est quasi inexistant, la pauvreté est galopante et vous parlez de dossiers fictifs pour ne pas adresser les vrais problèmes qui affectent les générations futures de tout un pays. Et si vous enquêtiez sur les ressources naturelles et les contrats signés en catimini ? Et si vous parliez des malversations commises par les membres de votre parti ? Chers parlementaires, on ne peut pas cacher le soleil avec une protocole inachevé de Doha, qui a été poursuivi à Conakry, a-t-il été le fruit de cet accord de réconciliation entre l’actuel président et son prédécesseur ? Le président Wade ne prend jamais une décision politique sans gain personnel et Jean Colin avait coutume de dire que “ Wade est un homme dangereux. Il n’a qu’une idée, c’est de devenir Président, il est prêt à tout sacrifier à cette idée. Il n’est pas l’homme d’un programme, mais l’homme d’une ambition personnelle ”. Le président Sall, serait-il en train de négocier avec ce Wade qui a mis le Sénégal à terre à cause de la corruption et des malversations sous son ère. L’argent qui a été détourné est l’argent de tous les Sénégalais et non l’argent du président Sall, comment peut-il pardonner ce qui n’est pas à lui ?Invitons un peu le passé dans cette conversation. Pendant que l’économie sénégalaise agonisait et que la corruption battait son plein, malgré les rapports des organes de contrôle de l’Etat, il n’y avait aucun procès de personnalités civiles ou politiques. Quelles réponses Wade nous avaient-ils fournies ? Il nous avait dit que ses ennemis politiques utilisaient la presse pour faire de fausses accusations, qu’il était difficile de prouver que la corruption existe et qu’en tant que président, il ne pouvait pas surveiller tout ce qui se passe dans son gouvernement. N’avait-il pas finalement reconnu qu’il était impossible que ses affirmations selon lesquelles il n’y avait pas de corruption au Sénégal soient vraies et qu’il fallait répondre aux préoccupations des donateurs concernant l’augmentation de la corruption au Sénégal ?Quid pro quoLe montant des factures impayées dépassait 450 milliards de FCFA, le Sénégal traversait un moment de dépassement budgétaire, dû à la corruption sous Wade. Les banques souffraient, elles n’avaient plus de liquidité, car aidant les entreprises durant ces moments difficiles où le gouvernement ne payait pas les entreprises. Plus de 15 ministères ont reçu des fonds illégaux, et le ministère de l’Infrastructure a reçu plus de fonds illégaux parmi ces 15 ministères. Cette voracité financière a coûté au Sénégal ses partenaires économiques, le Sénégal avait perdu sa crédibilité à cause de sa gestion budgétaire. C’est ainsi que les Pays-Bas ont refusé d’octroyer au Sénégal l’aide au développement tant qu’il n’y aurait pas de réforme budgétaire. C’était la posture de tous les pays développés durant cette époque. Pendant ce temps, le président a décidé de réaliser son fameux monument dans l’illégalité la réalisation de son fameux monument, Wade s’était approprié un terrain public occupant le promontoire le plus à l’ouest de la côte. Il voulait tout au début donner une partie de ce bien aux Nord-Coréens contre son monument. Il avait ensuite engagé une entreprise nord-coréenne pour la construction du monument pour un coût total de 35 millions de dollars, soit 16 milliards de FCFA au temps. Pour couvrir les coûts de construction, il fallait trouver les fonds, car notre budget, qui était insuffisant, ne pouvait pas s’en charger. C’est ainsi que le terrain près de l’aéroport a été approprié. Wade a alors engagé les services de Mbackiou Faye, un homme d’affaire et son ami, pour commercialiser le bien immobilier. Pour sa défense, Wade avait dit que ce sont les Nord-Coréens qui ont choisi Mbackiou Faye, mais c’est avec certitude que nous disons que c’est Wade qui l’a ainsi que Mbackiou avait vendu 12 hectares du bien au temps à l’IPRES pour 54 millions de dollars et avec le reste du terrain, le plan était de construire plus de 250 de résidences luxueuses, dont chacune serait commercialisée à hauteur de 300 000 dollars pour un total supplémentaire de plus de 80 millions de dollars. Tout était fait dans l’illégalité, car Wade avait mis la pression sur le Conseil d’Administration de l’IPRES pour faciliter la 30 juin 2009, l’Union européenne avait envoyé une lettre au gouvernement pour remettre en question l’accord foncier. Ils n’ont pas compris pourquoi le gouvernement n’a pas profité de cette occasion pour générer plus de revenus au lieu de donner le terrain à Mbackiou Faye pour la commercialisation et ce dernier s’est fait du profit qui pouvait et devait aller dans les caisses de l’Etat. Le Sénégal était dans le droit de faire ce qu’il voulait en tant que nation souveraine, mais c’est inadmissible dans ce cas que le Sénégal demande un soutien budgétaire aux 9 juillet 2009, le Premier ministre du temps, Souleymane Ndéné Ndiaye avait répondu par une lettre pour défendre l’accord foncier. Il disait que le Sénégal n’avait rien fait de mal et que ce sont les Nord-Coréens qui avait choisi Mbackiou pour la commercialisation du bien immobilier. Il avait ajouté que le ministre de l’Économie et des Finances a été impliqué dans tous les aspects de l’accord financier. Le seul problème est que le ministre des Finances, Abdoulaye Diop, lors de la présentation du budget rectificatif à l’Assemblée nationale la même année, avait affirmé que son ministère n’était pas impliqué dans les négociations sur le bien immobilier. La vérité est que c’était Wade et son fils qui s’occupaient de tous les accords fonciers, et que les terrains dans les quartiers huppés de la capitale étaient gérés par la avait alors affirmé que puisque le monument était son idée personnelle, il revendiquait des droits de propriété intellectuelle sur la statue. Il avait alors créé une fondation et avait dit que 35 % des recettes iront à la fondation sous forme de redevances. Il avait même nommé son fils, comme président du conseil d’administration de la fondation. Le but était d’utiliser ces fonds pour financer les Cases des Tout Petits qui était un autre projet dont les membres du gouvernement ont détourné des milliards de nos francs. C’est avec cet homme que l’actuel président du Sénégal s’est réconcilié. Si c’était à titre personnel, on n’aurait pas réagi, mais le fait qu’il veuille nous imposer un autre deal est une chose que nous n’accepterons une décrispation de l’atmosphère politique, Macky Sall s’est réconcilié avec Abdoulaye Wade et a gracié Khalifa Sall. En tant que sénégalais, anciens camarades de parti et frères en religion, ils peuvent se reconcilier et cela n’engagera qu’eux, mais de là à vouloir nous imposer cette réconciliation, nous ne l’accepterons pas, car si le Sénégal est en retard, c’est à cause de la gestion des deniers publics de l’Etat de 2000 à 2012, et de 2012 à 2019. Nul ne peut imposer aux Sénégalais un candidat en 2024, que ce dernier soit amnistié ou créé de nulle part. Le banditisme financier et l’amateurisme budgétaire continuent toujours à nos jours et le Sénégal traverse des moments très difficiles, car les populations ne mangent pas à leur faim et ne se soignent pas convenablement. Ce gouvernement, qui n’a même pas pu assurer l’eau durant le Magal de Touba. Pensez-vous que les sénégalais s’occupent des détails de vos réconciliations, grâces et amnisties ? Travaillez et arrêtez de tout politiser !Mohamed Dia Harriet était partie dans la matinée, laissant son panier de linge sous un buisson. Elle ne voulait pas de ce mariage arrangé. D'ailleurs, elle ne l'avait jamais voulu, mais n'en avait rien dit pour éviter tout soupçon et surveillance accrue. Elle avait déjà subit bien trop de coup et punition durant son enfance pour accepter un mari qui la battra une fois le mariage consommer. Elle espérait que l'on ne s'inquiète pour elle qu'en fin de journée ce qui lui laisserai une avance confortable pour aller trouver refuge quelque part ou que l'on perde sa trace. De son point de vue, elle était partie équipée. Elle avait caché deux miches de pain sous le linge sale ainsi que le gilet brodé de sa grand-mère qui était censé être un cadeau de mariage de la part de sa mère et surtout son héritage. Une taie d'oreiller en guise de baluchon et la voilà partie sur les ne connaissait pas grand-chose à la géographie de l'Écosse et de l'Angleterre. Elle savait qu'Édimbourg se trouvait sur la côte est et Londres aussi. Elle avait donc décidé d'aller vers ce qui lui semblait être le sud-est pour se rendre à la capitale. Harriet avait dans l'idée de devenir femme de chambre ou femme de ménage pour une riche propriétaire ou noble. Elle voulait se faire sa propre dot avant de trouver quelqu'un qu'elle matinée était belle et Harriet allongeait le pas pour mettre un maximum de distance entre le village et elle. Elle ne s'arrêta qu'un instant pour boire quelques gorgées d'eau et grignoter quelques bouchées de pain. Bien qu'elle jamais eu l'habitude de festoyer, elle se montrait économe quant à ses maigres soleil redescendait doucement derrière elle jetant son ombre démesuré sur le chemin. De lourds nuages s'étaient amoncelés tout au long de la journée et de première goutte commencèrent à tomber. Elle n'avait pas peur d'être mouillé ni d'attraper froid, mais la pluie transformé le chemin de terre battue en une boue épaisse ne lui plaisait guère. Elle ne pouvait faire autrement que de laisser des traces derrière elle et n'avait pas besoin de ça. Elle voulait à tout prix éviter qu'on la retrouve. Elle savait que l'aîné braconnait par moment pour égayer sa table de viande fraîche. Il n'aurait aucun mal de retrouver sa heureusement, le mauvais temps ne dura pas, mais le mal était fait ; ses lourds sabots avaient laissé des marques reconnaissables dans la boue. La nuit tombait, voilant le paysage d'une teinte sombre. Harriet était bien décidée à continuer son chemin jusqu'à l'aube pour éviter qu'on ne la retrouve. Elle n'avait jamais eu peur du noir, elle était courageuse. Mais tel un papillon de nuit, son attention fut attirée par un feu de camp au loin. Oubliant toute prudence et ayant perdu tout repères, elle se dirigea vers la faible lueur même qu'elle ait peu rejoindre la lumière bienfaitrice un bruit de galop attira son attention. La voix qui l'interpella ne laissait aucun doute Harriet revient. Un de ses frères avec le fils cadet du voisin était cheval et venait de la retrouver. Autant terrifiée de la double correction qu'elle subirait à son retour et du mariage, elle courut en relevant sa robe en direction du feu. Elle espérait tomber sur une âme charitable qui lui permettrait d'échapper aux griffes de sa famille. Laissez-moi cria t'elle en vain. Le cheval était bien plus rapide que la demoiselle et il ne fallut pas longtemps pour que le jeune cadet lui saute dessus et ne lui fasse pas perdre l'équilibre. Ils roulèrent tous les deux dans l'herbe et Harriet se retrouva vite immobilisée. Elle hurla de terreur son dernier espoir venait de s'envoler. Son futur mari serait sûrement furieux et n'attendrait pas pour la battre si son père ne venait pas en rajouter une couche. Désespérée en pleurs, elle supplia lâchez moi ! Lâchez moi! Je ne veux pas y retourner. Dans notre vie, il y a des gens, dont on a croisé le chemin par hasard, qui nous rendent heureux. Certains d’entre eux ont fait un bout de chemin à nos côtés, quand d’autres sont sortis de notre vie aussi vite qu’ils y sont entrés. On dit de toutes ces personnes qu’elles sont nos amies…mais, les catégories d’amis sont vous êtes un arbre, et chacune des feuilles de cet arbre représente un de vos amis. Les premiers à bourgeonner, ce sont vos amis papa et maman, qui vous apprennent ce qu’est la vie. Viennent ensuite les amis frères et soeurs, avec qui on partage notre espace, afin que, comme nous, ils puissent fur et à mesure, on fait la connaissance de toute la famille de feuilles, que l’on respecte et à qui on ne veut que du bien. Ensuite, le destin nous présente d’autre amis, ceux que l’on n’était pas nécessairement destiné à rencontrer. Parmi eux, nombreux sont ceux sont que l’on considère comme des amis de l’âme, des amis du coeur ; ils sont sincères et vrais. Quand on ne va pas bien, ils le sentent, et ils savent ce qui nous rend un de ces amis de l’âme éclate dans notre coeur pour devenir un ami amoureux ; il fait alors briller nos yeux, valser nos lèvres, et sauter nos pieds. Il y aussi ces amis ponctuels, avec qui les liens ne durent que le temps des vacances, de quelques jours, voire de quelques heures. Tant qu’ils sont auprès de nous, aussi brièvement soit-il, ils nous donnent le ne peut pas parler d’amitié et oublier de mentionner les amis à distance, ceux qui poussent en bout de branche et qui, quand le vent souffle, apparaissent toujours entre deux puis, le temps passe, l’été s’en va pour faire place à l’automne ; alors on perd des feuilles, certaines poussent l’été suivant, et d’autres perdurent pendant encore plusieurs saisons. Mais ce qui nous rend le plus heureux, c’est que celles qui sont tombées ne partent jamais loin, alimentant de joie nos constituent alors de merveilleux souvenirs, immortalisant les moments passés de mon arbre, je te souhaite paix, amour, santé, chance et prospérité. Pour toujours… Tout simplement parce que chaque personne qui passe dans notre vie est unique. Elle laisse toujours un peu d’elle-même, et s’en va avec un peu de peuvent prendre plus que d’autres, mais aucun ne peut ne rien laisser. C’est la plus grande responsabilité de notre vie, et la preuve évidente du fait que deux âmes ne se rencontrent pas par des amis de Jorge Luis BorgesLes amis, c’est une famille que l’on choisit. Un ami ne peut pas résoudre tous vos problèmes, ni vous ôter vos doutes, ni même vaincre vos peurs…Mais il s’efforce de vous écouter ainsi que de partager chaque sentiment et chaque ami, c’est celui qui connait tous vos défauts et qui vous aime malgré que l’on peut appeler nos compagnons de vie, c’est peut-être nos amis de l’âme et nos amis amoureux. Ils sont très courageux, et si notre arbre est fleuri et coloré, c’est grâce à amis n’ont pas le pouvoir de changer votre futur ou votre passé, mais ils sont à vos côtés quand vous en avez le plus ne peuvent pas débarrasser votre chemin des petits cailloux qui l’encombrent et ainsi vous éviter de trébucher, mais ils vous tendent la main pour vous aider à rester joies et les peines de nos amis ne sont pas les nôtres, tout comme les nôtres ne sont pas les leurs. En revanche, chacun profite du bonheur de l’ conséquent, la meilleure chose qui puisse arriver dans la vie, c’est de trouver quelqu’un avec qui rire, avec qui parler, et avec qui que quelqu’un s’inquiète de notre bonheur et dépend de nous, c’est un vrai ami, c’est un grand trésor, c’est l’ingrédient le plus important dans la recette de la amis sincères sont ceux qui nous offrent l’espace nécessaire à notre croissance, ceux qui ne nous imposent aucune limite dans notre dit que les amis ont la capacité de nous faire aller mieux rien qu’en nous prenant dans leurs bras, même si quelques minutes avant, on se sentait vaincu par la amis échappent à chaque ordre que l’on veut établir. Ce ne sont pas les premiers, ni les derniers dans notre liste de occupent seulement une place privilégiée leur étant consacrée, un espace spécialement crée pour profiter de l’échange émotionnel entre deux personnes qui s’ plus, on sait tous que ce n’est pas la présence physique qui fait un vrai ami, mais la magie de savoir que, même si on ne le voit pas, on le porte dans notre coeur. Parfois, on peut ne pas le voir pendant des années, mais le jour où on le retrouve, c’est comme si le temps n’avait pas de choses sont aussi agréables qu’un regard complice échangé avec des yeux brillants et heureux, ou un sourire spontanée qui traduit une compréhension précisément à ce hasard que l’on reconnaît les vrais bons amis vous permettent d’aller mieux, vous aident à atteindre vos objectifs, sont là pour vous dans les temps difficiles en minimisant vos moments de dépression, apaisent votre stress, et vieillissent avec vérité, c’est qu’il n’est pas nécessaire d’avoir beaucoup d’amis. L’important, c’est d’avoir les meilleurs. Et bien souvent, les amis se comptent sur les doigts de la main. C’est précisément la rareté qui fait qu’une vraie amitié n’est pas un trésor, mais une immense fortune. Berck sur Mer 62 ON CHOISIT SES AMIS PAS SA FAMILLE On ne choisit pas toujours sa famille, qu’on se le dise ! Toc toc toc ! Qui est là ? C’est ta sœur ! J’en ai pas… Que tu crois ! Comment Luc, architecte de renom, hautain, classieux, aimant garder le contrôle sur tout, va-t-il gérer le débarquement de Victoire, une sœurette envahissante et exubérante que même la génétique hésite à définir comme telle ! 21h, Familia Théâtre. Tarif 15€/10€. Infos & réservation 07 86 87 32 46 Berck sur Mer, Familia Théâtre chargement de la carte - veuillez patienter... Berck sur Mer, Familia Théâtre

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