Etpour les fans des films, la série arrivera à vous séduire une fois bien lancée. » Alex Zalben - Decider. I've seen the first 2 episodes of #LordOfTheRings #TheRingsOfPower. It is Cetueur en série s'est attaqué surtout à des jeunes couples en Californie, dans les années 1960 et 1970. Il est assez connu pour ses lettres codées envoyées à plusieurs journaux. Des lettres dans lesquelles il revendiquait ses meurtres (preuve à l’appui) et menaçait les journalistes de faire encore plus de victimes s'ils ne les publiaient pas. Commentaireartistique. L’homme à l’affût a été réalisé en 1952 par Edward Dmytryk, cinéaste longtemps écarté des studios car placé sur la liste noire par le HUAC pour orientation communiste et qui, comble d’ironie, dirigera dans ce film à suspense l’acteur Adolphe Menjou, féroce défenseur du Maccarthysme ! Ce drame d’une grande noirceur est Filmographie: Films français Vous trouverez sur cette page des films sur les tueurs en série produits et/ou réalisés en France. Plusieurs d’entre eux sont consacrés à des tueurs ayant réellement existé. Tous les films présentés sur ces pages peuvent être acquis sur cliquant sur leur titre. 10films et documentaires sur des cas de tueurs en série Ci-dessous, nous vous présentons une série de films et de documentaires qui traitent de cas spécifiques de tueurs en série . La plupart d'entre eux traitent de cas et d'événements réels, bien que certains films contiennent du matériel basé uniquement sur eux ou sur des romans qui ont traité du sujet. fp8T. Les films basés sur les histoires vraies de meurtriers en série américains ont parcouru toute la gamme des opinions du public et des critiques, avec des cotes d'approbation du public selon Rotten Tomatoes allant de 10% pour Speck», l'histoire de l'étudiant tueur Richard Speck , à 88% pour " Bonnie et Clyde ", les braqueurs et assassins de banque de l'époque de la dépression. Voici 10 films sur les meurtriers en série et en série, avec les dates de sortie des classements IMDb et Rotten Tomatoes L'étranger délibéré 1986 Bettmann / Getty Images Mark Harmon joue le tueur compulsif Ted Bundy , responsable de la mort d'au moins 30 femmes de l'état de Washington à la Floride pendant plus d'une décennie. Rotten Tomatoes 71 pour cent d'audience aucune note des critiques Attraper un tueur 1992 Brian Dennehy incarne John Wayne Gacy , un monstre homicide qui a torturé et assassiné plus de deux douzaines de jeunes victimes et les a enterrées dans le vide sanitaire sous sa maison. Rotten Tomatoes 87 pour cent d'audience aucune note des critiques Helter Skelter 1976 Basé sur le livre du procureur Vincent Bugliosi, ce film examine les meurtres macabres de Tate-LaBianca par des partisans de Charles Manson , en se concentrant sur l'enquête et les poursuites contre la "famille" cultish Manson. Steve Railsback dépeint Manson. Rotten Tomatoes 100% de critiques, 74% d'audience Dahmer 2002 Le film du scénariste / réalisateur David Jacobson sur le tueur en série Jeffrey Dahmer , qui a tué et cannibalisé 15 garçons, se concentre sur l'esprit dérangé de Dahmer plutôt que sur ses crimes macabres. Rotten Tomatoes 68% de critiques, 40% d'audience Ed Gein 2000 Steve Railsback joue également Ed Gein dans ce film sur un fermier du Wisconsin des années 1950 qui était un tueur en série profondément perturbé. L'affaire Gein a inspiré les films Psycho», The Texas Chainsaw Massacre» et The Silence of the Lambs». Rotten Tomatoes 10% de critiques, 40% d'audience L'Étrangleur de Boston 1968 Tony Curtis joue Albert DeSalvo , qui a avoué le viol et le meurtre de 13 femmes au début des années 1960 qui ont terrorisé Boston. Henry Fonda est également en vedette. Rotten Tomatoes 86% de critiques, 75% d'audience Bonnie et Clyde 1967 Warren Beatty et Faye Dunaway incarnent Clyde Barrow et Bonnie Parker, qui ont volé de petites banques au Texas et en Oklahoma pendant la Grande Dépression . À sa sortie, il était considéré comme l'un des films les plus violents jamais produits par le grand public hollywoodien. Rotten Tomatoes 89% de critiques, 88% d'audience L'été de Sam 1999 C'est la représentation du Bronx par Spike Lee à l'été 1977, lorsque le fils de Sam, David Berkowitz , a terrorisé la ville, traquant et tuant des amants garés dans des rues sombres avec une arme de poing de calibre .44. Rotten Tomatoes 51% de critiques, 59% d'audience Speck 2002 Basé sur les meurtres du tueur de folie Richard Speck , ce film détaille le meurtre de huit étudiants en sciences infirmières dans un dortoir de Chicago le 13 juillet 1966. Rotten Tomatoes 10 pour cent d'audience aucune note des critiques Pour mettre en place cette bataille, on a sélectionné nos 16 films en tenant compte de leur moyenne spectateurs IMDb et Sens Critique, tout en pondérant parfois quand le résultat paraissait quelque peu incongru ne pas voir Henry, portrait d’un serial killer parce que sa moyenne était inférieure à, par exemple, Docteur Petiot, ne nous aurait pas apparu des plus judicieux.Tel un tableau sportif, il y a donc des têtes de série afin d’éviter des affrontements impossibles dès le premier tour. Il y a également deux catégories côté du tableau, nous avons les films inspirés par de vrais tueurs en série. Même s’ils prennent quelques libertés, ils se concentrent vraiment sur des individus qui ont existé et relatent des faits qui se sont l’autre côté du tableau, on retrouve les films mettant en vedette des tueurs en série fictifs même si parfois on distingue des similarités avec certains célèbres INSPIRÉS DE VRAIS TUEURS EN SÉRIE1er TOUR The Chaser 2008 de Na Hong-jin Inspiré du serial killer Yoo Yung-chui 1970-VsHenry portrait d’un serial killer 1986 de John McNaughtonInspiré du serial killer, Henry Lee Lucas 1936-1984Le premier des duels est sacrément costaud. Malgré son statut d’outsider, Henry, portrait d’un serial killer s’appuie sur un procédé artistique » d’une force peu commune. Nous sommes au cœur de la vie quotidienne d’un tueur en série et de son acolyte. Une sorte de documentaire de l’horreur qui rend le film difficilement supportable. Aussi repoussant que fascinant. Malgré toute la virtuosité narrative et technique du film de Na Hong-jin, il ne peut rivaliser avec l’impact du long-métrage de John Henry portrait d’un serial killer L’Étrangleur de Boston 1968 de Richard FleischerInspiré du serial killer Albert DeSalvo 1931-1973VsLe Juge et l’assassin 1976 de Bertrand TavernierInspiré du serial killer Joseph Vacher 1869-1898Un duel plus facile à départager à nos yeux. Pourtant plus jeune, le film de Tavernier a indéniablement pris un coup de vieux. On apprécie toujours autant le cabotinage contrôlé de Galabru dans le rôle de l’assassin mais le film souffre d’un rythme incertain et paraît bien désuet dans sa charge sociale et politique. Tavernier allait faire beaucoup mieux par la suite. Le film de Fleischer et son utilisation géniale des split-screens garde au contraire toute sa modernité. À la fois suspense redoutable et étude glaçante de mœurs d’un tueur vraiment effrayant de par sa banalité de vie, L’Étrangleur de Boston doit aussi beaucoup à la performance de Tony Curtis. C’est donc une victoire sans appel du L’Étrangleur de Boston Zodiac 2007 de David FincherInspiré du serial killer Le tueur du ZodiaqueVsSchizophrenia, le tueur de l’ombre 1983 de Gerald KarglInspiré du serial killer Werner KniesekUne opposition radicale de style. Contre tout autre adversaire, l’aspect jusqu’au-boutiste de Schizophrenia aurait permis de l’emporter. A l’instar d’Henry, portrait d’un serial killer, le film de Gerald Kargl n’est pas là pour plaire mais pour nous faire subir une expérience traumatisante. Et il y arrive magnifiquement ». Mais voilà, en face, il y a Zodiac. Le chef d’œuvre de David Fincher est une leçon de mise en scène à décortiquer sans cesse. On se passionne pour cette enquête impossible pour arrêter et démasquer le mystérieux tueur du Zodiaque. Le film est presque hors sujet dans ce tableau puisqu’on n’y voit jamais l’assassin. Et pour cause, aujourd’hui encore, son identité reste un mystère. Mais, rarement un absent n’aura paru aussi présent au sein d’une ZodiacLes Tueurs de la lune de miel 1970 de Leonard Kastle et Donald VolkmanInspiré des serial killers Raymond Fernandez 1914-1951 et Martha Beck 1920-1951VsL’Étrangleur de la place Rillington 1971 de Richard FleischerInspiré du serial killer John Christie 1898-1953Le duel le plus équilibré du premier tour de cette partie du tableau. D’un côté, une série B culte qui mélange les genres pour aboutir un résultat presque expérimental. De l’autre, une œuvre méconnue d’un cinéaste jamais reconnu à sa juste valeur porté par un Richard papa de Jurassic Park » Attenborough aurait tendance à ne pas vouloir faire passer un second film de Fleischer mais comment ne pas s’enthousiasmer au plus haut point face à une œuvre qui dresse le portrait saisissant d’un tueur retors tout en imposant un regard social d’une rare L’Étrangleur de la place RillingtonQUART DE FINALEHenry portrait d’un serial killer 1986 de John McNaughtonVsL’Étrangleur de Boston 1968 de Richard FleischerL’outsider tient toujours bien la corde mais sans doute plus désormais parce qu’il personnifie que trop bien le sujet. Face à lui, il a désormais un sacré client qui parvient à la fois à être un grand film de pur cinéma toujours ses fameuses séquences de split-screens tout en parvenant à nous faire entrer, lors de la superbe séquence d’interrogatoire, dans l’intimité du L’Étrangleur de BostonZodiac 2007 de David FincherVsL’Étrangleur de la place Rillington 1971 de Richard FleischerFleischer va-t-il retrouver Fleischer en finale de cette partie du tableau ? Non, car la marche est trop haute tant Zodiac impose constamment sa toute-puissance. Il faudra un Fleischer encore plus fort visuellement pour mettre à mal Fincher. Peut-être au prochain tour ?Vainqueur ZodiacDEMI-FINALE L’Étrangleur de Boston 1968 de Richard FleischerVsZodiac 2007 de David FincherUn duel épique entre deux cinéastes au style visuel fort. C’est peut-être au niveau des comédiens que se fait la différence. L’ensemble du casting du film de Zodiac livre des prestations absolument vertigineuses le trio en or Jake Gyllenhaal, Robert Downey Jr., Mark Ruffalo. En face, Tony Curtis met du temps à entrer en piste pour finir en trombe à l’instar d’un autre collègue situé dans l’autre partie du tableau Perkins en Norman Bates. On choisit Zodiac pour représenter les films de serial killers existant en finale mais que ce fut serré dans notre ZodiacFILMS DE TUEURS EN SÉRIE FICTIFS1er TOUR Psychose 1960 d’Alfred HitchcockVsHalloween 1978 de John CarpenterOn commence fort de ce côté-ci du tableau avec un duel qui pourrait ressembler à une finale. D’un côté, l’un des meilleurs films du maître du suspense. De l’autre, le film qui imposa le nom de Carpenter au plus grand nombre le film fut longtemps l’œuvre la plus rentable de l’Histoire et popularisa la mode du slasher. Deux maîtres étalons du cinéma d’horreur. Ça ne se joue à rien mais on élimine le cadet en se disant qu’on a plus à faire à un boogeyman qu’à un serial killer, Carpenter ne donnant pas de visage à son célèbre tueur au point que le générique du film le désigne sous le nom de The Shape, soit la forme.Vainqueur Psychose M le maudit 1931 de Fritz LangVsMemories of murder 2003 de Bong Joon-HoUne sacrée opposition de style. Classique parmi les classiques contre classique moderne d’un cinéaste majeur de notre temps. Là encore, on penche pour l’aîné qui impose l’une des plus incroyables métaphores sur son époque la monté du nazisme sous couvert d’un pur film de genre. Et le visage de Peter Lorre traqué par la foule reste un des plans les plus mythiques du M le maudit Seven 1995 de David FincherVsLe Voyeur 1960 de Michael PowellQue de duels de haute volée dans cette partie du tableau. Le film de Powell met en scène un des tueurs les plus tristement attachants de l’Histoire tout en imposant une réflexion sur la fascination et consommation des images d’une acuité visionnaire. Mais, cette fois-ci, la prime à l’ancienneté ne suffit pas. Car, Se7en est ce thriller horrifique qui n’a de cesse de prendre de la bouteille, perfection technique de tous les instants, qui nous entraîne loin dans la noirceur de l’être humain et de la société qui l'a fait naître. Maintes fois copié, le film de Fincher n’a jamais été égalé, voire juste Se7en Le Silence des agneaux 1991 de Jonathan DemmeVsC’est arrivé près de chez vous 1992 de Rémy Belvaux, André Bonzel et Benoît PoelvoordeL’affrontement le plus déséquilibré de ce premier tour. Le film du trio belge est évidemment d’une drôlerie sans limite cette séquence énormissime du petit Grégory mais la puissance du récit de Demme écrase tout sur son passage. À l’image de son parcours parfait aux Oscars un des rares films à avoir remporté les 5 plus prestigieuses statuettes film, réalisateur, acteur, actrice et scénario.Vainqueur Le Silence des agneauxQUART DE FINALEPsychose 1960 d’Alfred HitchcockVsM le maudit 1931 de Fritz LangLe duel des géants. Deux des plus grands cinéastes de l’Histoire. Les deux œuvres les plus iconiques de leur carrière. Cela se joue à rien mais on a l’impression de redécouvrir le film d’Hitchcock à chaque PsychoseSeven 1995 de David FincherVsLe Silence des agneaux 1991 de Jonathan DemmeLes deux meilleurs thrillers des années 90. Et de loin ! Et pourtant, l’affrontement se règle assez vite à nos yeux. Il y a une perfection de la narration associée à des performances d’acteurs extraordinaires qui font que Le Silence des agneaux reste Le Silence des agneauxDEMI-FINALE Psychose 1960 d’Alfred HitchcockVsLe Silence des agneaux 1991 de Jonathan DemmeNorman Bates vs Hannibal Lecter. Dis comme ça, c’est tout aussi difficile de trancher tant on est en présence de deux membres du top 5 des meilleurs méchants de l’Histoire. Assurément, les deux films font partie des 50 meilleurs films de tous les temps. Le temps a fait son œuvre et Le Silence des agneaux a gagné amplement ses galons de classique absolu et peut regarder droit dans les yeux le film d’Hitchcock. Ce dernier pourrait voir se reprocher que ce n’est pas forcément le meilleur de son auteur. On serait donc tenté de voter pour le Demme mais c’est encore sans doute un peu trop tôt. À l’image de son final tétanisant, Psychose remporte de peu le PsychoseFINALE Psychose 1960 d’Alfred HitchcockVsZodiac 2007 de David FincherL’affrontement final. Malheureusement, malgré tout le bien que l’on pense du film de Fincher, aisément l’un des tous meilleurs sortis depuis 20 ans, le duel est trop déséquilibré. Psychose, c’est le film de genre parfait. Hormis la scène de la douche, insurpassable moment de pur cinéma, le film d’Hitchcock contient un lot de séquences à la modernité encore aujourd’hui saisissante ah ce meurtre du détective. On n’a finalement qu’un regret face à un tel monument ne pas avoir eu la chance de le découvrir en salle à l’ Psychose Écrans & TV Article réservé aux abonnés 3 minutes à lire Publié le 05/02/22 Partager Films, séries, documentaires… les tueurs en série sont partout ! Alors que Ciné+ Frisson propose de passer une nuit en leur monstrueuse compagnie ce samedi, l’historien Fabrice d’Almeida décrypte le phénomène. Il suffit d’une simple recherche sur Netflix ou Google pour se rendre compte de l’ampleur du phénomène. Du film Le Silence des agneaux à la série Mindhunter et aux nombreuses séries documentaires disponibles actuellement sur la thématique, comme Making a Murderer ou Ted Bundy dans la tête d’un tueur, les serial killers n’en finissent pas d’inspirer la création. La dernière Palme d’or, décernée à Titane, de Julia Ducournau, ne mettait-elle pas en scène une tueuse en série ? Fabrice d’Almeida, historien, professeur à l’université Panthéon-Assas, spécialiste des médias et coauteur, avec Marjorie Philibert, du livre Sur les traces des serial killers à chaque époque, son tueur éditions de La Martinière, 2015, s’est intéressé au sujet dès les années 2010. La télévision commençait à diffuser des séries intéressantes avec des tueurs en série, comme Harper’s Island, NCIS Enquêtes spéciales, ou Hannibal, sur le célèbre tueur cannibale. Je constatais, en même temps, que de plus en plus d’étudiants choisissaient cette thématique pour en faire des mémoires. On sentait bien qu’il y avait une sorte d’engouement mondial pour le genre. » Paiement sécurisé Sans engagement Désabonnement simple Déjà abonné ? Je me connecte Découvrir toutes nos offres True crime Partager Contribuer Postez votre avis Pour soutenir le travail de toute une rédaction, abonnez-vous Pourquoi voyez-vous ce message ? Vous avez choisi de ne pas accepter le dépôt de "cookies" sur votre navigateur, qui permettent notamment d'afficher de la publicité personnalisée. Nous respectons votre choix, et nous y veillerons. Chaque jour, la rédaction et l'ensemble des métiers de Télérama se mobilisent pour vous proposer sur notre site une offre critique complète, un suivi de l'actualité culturelle, des enquêtes, des entretiens, des reportages, des vidéos, des services, des évènements... Qualité, fiabilité et indépendance en sont les maîtres mots. Pour ce faire, le soutien et la fidélité de nos abonnés est essentiel. Nous vous invitons à rejoindre à votre tour cette communauté en vous abonnant à Télérama. Merci, et à bientôt. S’abonner Cette filmographie présente des films, des séries et des documentaires ayant pour sujet les tueurs en série, mais aussi les enquêtes criminelles, les sciences forensiques ou le profiling. Filmographie Films américains Vous trouverez sur cette page une liste de films produits aux États-Unis ayant pour sujet les tueurs en série. J'ai laissé de côté les "slasher movies" Freddy, Jason, et autres Scream et l... Filmographie Films françaisVous trouverez sur cette page des films sur les tueurs en série produits et/ou réalisés en France. Plusieurs d'entre eux sont consacrés à des tueurs ayant réellement existé. [asa]B00T38F5RI[/asa] Résumé "L'aff... Filmographie Films d'autres paysVous trouverez sur cette page des films sur les tueurs en série produits et/ou réalisés ailleurs qu'en France ou aux États-Unis. [asa]B001FY2MY2[/asa] Résumé Belgique. "Vous connai... Filmographie SériesVous trouverez sur cette page une liste de séries, américaines, britanniques et françaises, ayant pour sujet les tueurs en série, les enquêtes criminelles, les sciences forensiques médico-légales et le ... Filmographie Documentaires Voici quelques documentaires glanés sur le web, ayant pour sujet les tueurs en série et l'enquête serial killers, criminologie, sciences médico-légales, police scientifique et p... Les tueurs en série ont parfois une tête de tueurs en série, ils ont parfois l’air de bons pères de famille, ils ont même parfois des gueules d’ange. Ils ont cependant tous en commun d’avoir eu une fois le désir de tuer un être humain, d’avoir assouvi ce désir et d’avoir recommencé. Encore et encore. Voici le portrait de 10 des plus horribles tueurs en série ! Daniel Camargo Barbosa, l’assassin assassiné Barbosa est né en 1930, en Colombie. On estime qu’il a violé et tué plus de 150 jeunes filles en Colombie et en Équateur entre 1974 et 1986. Emprisonné en Colombie, il a réussi à s’échapper et à faire 71 autres victimes en Équateur. Quand il a été repris, il a indiqué aux autorités les endroits où se trouvaient les corps des victimes qui n’avaient pas encore été retrouvés et qu’il avait tous démembrés à coup de machette. Il a expliqué qu’il ne violait que de jeunes filles vierges parce qu’elles pleuraient et criaient et qu’il tuait pour se venger de l’infidélité de LA femme. Il a été condamné en 1989 à 16 ans de prison, la peine maximale permise en Équateur. Ce qui signifie qu’il serait aujourd’hui un homme libre s’il n’avait été assassiné en prison, en novembre 1994, par le cousin de l’une de ses victimes. Il avait 64 ans. Joachim Kroll, le cannibale de la Ruhr L’Allemand Joachim Kroll, né en 1933, a été arrêté en 1976, pour l’enlèvement d’une fillette de 4 ans. Quand les policiers sont arrivés à son domicile, ils y ont trouvé le corps découpé de l’enfant. Des morceaux se trouvaient dans le frigo, une main cuisait dans une casserole et les intestins étaient coincés dans le vide-ordure. Kroll a admis avoir tué la fillette et a fourni tous les détails concernant 14 autres meurtres s’échelonnant de février 1955 au 3 juillet 1976. Treize des victimes étaient des femmes. Elles ont été violées, puis étranglées, poignardées ou noyées. Des tranches de chair ont été découpées des fesses et des cuisses de certaines d’entre elles. Après un procès qui aura duré 151 jours, Kroll a été reconnu coupable de huit meurtres et d’une tentative de meurtre. Il a été condamné à neuf peines d’emprisonnement à perpétuité. Il est mort en prison en 1991, d’une crise cardiaque, à l’âge de 58 ans. Andreï Chikatilo, le boucher de Roslov Chikatilo, né en Ukraine en 1936, a fait des études de langues, de littérature et de génie mécanique avant de devenir instituteur. Ce père de deux enfants a été le meurtrier d’au moins 52 femmes et enfants entre 1978 et 1990. Il torturait et assassinait ses victimes avant de les mutiler et d’en consommer la chair, en particulier les seins et les organes sexuels. Il a tué 21 garçons de 8 à 16 ans, 14 fillettes du même groupe d’âge et 17 femmes. Il a été condamné à mort en octobre 1992 et exécuté d’une balle dans la nuque en février 1994. Les parents des victimes s’étaient réunis pour réclamer que les autorités le libèrent pour qu’ils puissent le tuer eux-mêmes. L’instituteur aurait expliqué ses crimes en disant Quand j’utilise mon couteau, ça me procure un soulagement psychologique. Je sais que je dois être détruit. Je suis une erreur de la nature. » Patrick Wayne Kearney, l’ingénieur tueur Patrick Kearney, né en 1939, a tué 43 victimes. Son premier meurtre aurait eu lieu en 1965, alors qu’il avait 26 ans, mais c’est à partir de 1974 qu’il a commis tous les autres, presque un par mois. Kearney ramassait ses victimes, tous des homosexuels, sur le bord de l’autoroute ou dans des bars gais. Il les tuait d’une balle à la tempe dans sa voiture ou son pick-up puis se rendait dans un endroit isolé pour les violer. Patrick Wayne Kearney était un ingénieur en électronique de Los Angeles qui ne ressemblait en rien au tueur en série typique, avec ses lunettes, sa petite taille et son aspect inoffensif. Il s’est lui-même rendu à la police et a plaidé coupable d’avoir tué trois hommes. Il a été condamné à la prison à vie. Les autorités, sachant qu’il en avait tué plus, lui ont fait une offre. On lui a promis qu’il ne recevrait pas de peine de mort s’il donnait la liste complète de ses victimes. Kearney a alors confessé avoir tué 18 autres personnes et indiqué où trouver les cadavres. Il a par la suite admis en avoir tué 11 de plus, mais ne fut jamais accusé de ces meurtres. Il est incarcéré à la prison d’État de la Californie. John Wayne Gacy, le clown tueur John Wayne Gacy, né à Chicago en 1942, était un respectable homme d’affaires, marié deux fois, qui faisait beaucoup de bénévolat. Il jouait entre autres le rôle de Pogo le clown lorsqu’il allait visiter des enfants malades à l’hôpital. C’était aussi un homme qui aimait avoir des relations homosexuelles avec des hommes plus jeunes que lui qu’il recrutait dans son entourage pour leur proposer des petits boulots, souvent à son domicile. C’est ainsi que la police est venue lui rendre visite en 1978 lors d’une enquête au sujet des disparitions de jeunes gens ayant travaillé pour lui. Au total, 26 cadavres ont été retrouvés enterrés dans le vide sanitaire sous sa demeure de Des Plaines, trois dans sa propriété et quatre autres dans la rivière voisine. Gacy a été accusé d’avoir tué 33 jeunes hommes entre 1972 et 1978. Il les menottait et les violait, puis se débarrassait des corps. Il a tenté de plaider la folie lors de son procès, sans succès, et a été condamné à la peine capitale. Il a été exécuté en mai 1994 par injection létale. En 1998, quatre cadavres supplémentaires ont été trouvés dans un bâtiment où avait déjà habité la mère de Gacy et où il avait déjà fait des travaux de construction. Ses autoportraits de clown sont aujourd’hui des articles de collection… Paul Knowles, le Casanova meurtrier En quatre mois seulement, Paul Knowles a tué 18 personnes, et peut-être plus. Les victimes de Knowles, né en 1946 en Floride, étaient des hommes, des femmes et des enfants de plusieurs états américains. L’homme, que l’on disait aussi charmant que manipulateur, avait vécu sa jeunesse en famille d’accueil et en maison de correction et avait fait de la prison une première fois à 19 ans et plusieurs fois par la suite mais pas pour meurtre. Pas encore. En 1974, il a eu droit à une libération conditionnelle grâce aux efforts d’une femme avec qui il avait entretenu une correspondance alors qu’il était en prison. Tous deux devaient se marier, mais elle changea d’avis après avoir consulté une voyante. C’est alors que Knowles s’est transformé en tueur en série. Il a été arrêté en Géorgie quatre mois plus tard. Il est mort peu après, tué par trois balles dans la poitrine tirées par un agent du FBI alors qu’il tentait de s’échapper. Ted Bundy, le tueur charismatique Ted Bundy est né en 1946, dans le Vermont. C’est l’un des plus célèbres tueurs en série américains. Il a violé et tué au moins 36 femmes entre 1974 et 1977, dans sept états différents. Certains croient qu’il en aurait tué une centaine et plus. Son charme et son intelligence ont fait de lui une célébrité lors de son procès et son cas a inspiré bien des romans et des films sur les tueurs en série. Cet étudiant en droit d’apparence soignée et sans dossier criminel a été arrêté une première fois en 1977, mais a réussi à deux reprises à s’évader de façon spectaculaire. Le 10 janvier 1978, il a été placé sur la liste des dix criminels les plus recherchés par le FBI. Le 15 février, il a été arrêté, définitivement. Il a assuré lui-même sa défense et a été reconnu coupable de plusieurs meurtres et viols. Sa technique pour attirer ses victimes était toujours la même il faisait semblant d’être blessé, en portant un bras en écharpe par exemple, et demandait à la jeune femme de l’aider à apporter un paquet dans sa voiture. Il a décapité au moins 12 de ses victimes et a conservé les têtes dans son appartement, comme autant de trophées. Il a été exécuté sur la chaise électrique en 1989. Il avait 43 ans. L’histoire de cet homme qui avait tout pour réussir a troublé toute l’Amérique. Harold Fredrick Shipman — Le médecin tueur Né en 1946 en Angleterre, Shipman était un médecin généraliste et l’auteur de plus de 250 meurtres. Il était très respecté dans sa communauté, mais ses collègues ont néanmoins commencé à avoir des soupçons en 1998 devant le haut taux de mortalité dans sa région et le nombre de certificats d’incinération chez ses patientes plus âgées. Il a été par la suite prouvé que Shipman injectait des doses mortelles de diamorphine à ses patients pour les tuer. Il forgeait ensuite de faux testaments pour hériter de grosses sommes d’argent et incinérait les corps pour détruire toutes preuves. Il a été reconnu coupable en janvier 2000 de 15 assassinats et condamné à 15 peines d’emprisonnement à vie, sans possibilité de libération conditionnelle. En 2002, un rapport, basé sur 2500 témoignages et l’analyse de plus de 270 000 documents, a conclu qu’il avait probablement tué plus de 250 personnes, surtout des personnes âgées. Il s’est pendu dans sa cellule en janvier 2004. Il avait 58 ans. Pedro Alonso Lopez — Le monstre des Andes Pedro Lopez est né en 1948, en Colombie. Il a violé et tué plus de 300 filles à travers l’Amérique du Sud. Il ne tuait jamais la nuit parce que, disait-il, tout le plaisir résidait dans le fait de regarder sa victime dans les yeux pendant qu’il la tuait. Il a été arrêté en 1974 en Équateur après une tentative d’enlèvement ratée et condamné à 20 ans de prison en cellule d’isolement. Il a été libéré le 31 août 1994, pour être arrêté de nouveau une heure plus tard en tant qu’immigrant illégal par les autorités colombiennes qui l’ont ensuite accusé du meurtre d’une fillette de 8 ans. Déclaré irresponsable de ses actes lors de son procès, il a été envoyé dans un institut psychiatrique de Bogota. En 1998, il a été déclaré guéri et a été relâché après le paiement d’une caution de 50 $. En 2002, Interpol a lancé un mandat d’arrêt contre lui pour un nouveau meurtre. Depuis sa libération, nul ne sait où se trouve le monstre des Andes qui a un jour avoué à un journaliste qu’il serait content de pouvoir encore tuer. C’est ma mission ». C’était avant d’être libéré… Gary Leon Ridgway — Le tueur de Green River Gary Ridgway est né en 1949 dans l’Utah. C’était un routier et un vétéran de la guerre du Vietnam qui a été accusé en 2001 d’avoir tué 49 femmes durant les années 1980 et 1990 dans l’état de Washington. La plupart de ses victimes étaient des fugueuses ou des prostituées. Il violait les femmes, les tuait, les cachait dans la forêt, puis revenait plus tard pour avoir d’autres relations sexuelles ». Comme il l’a ensuite expliqué lors de son procès, ce faisant, il n’avait pas à payer pour le sexe… Ridgway a évité la peine de mort en indiquant aux policiers les lieux où il avait laissé ses victimes. Comme cinq d’entre elles avaient été jetées dans la rivière Green, la presse l’a vite surnommé le tueur de Green River. Il est emprisonné à vie sans possibilité de libération conditionnelle. Son cas a été lié à celui du tueur en série canadien Robert Pickton qui a été reconnu coupable en 2007 d’avoir tué six prostituées dans la région de Vancouver. Que pensez-vous de cet article ? 1 votes, average 5,00 out of 5Loading... Pour en savoir plus Le Livre noir des serial killers – Dans la tête des tueurs en série Tueurs en série

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